Nous sommes des êtres de fréquences.
Nous produisons en permanence différents types d’énergie vibratoire.
La maladie,
déséquilibre énergétique ?
Nous sommes des êtres énergétiques. Ce n’est pas un postulat ésotérique. En Asie, les traditions médicales et spirituelles appréhendent cette réalité, les premières en repérant la circuiterie invisible du corps humain désignée par les méridiens ou les chakras, les secondes en insistant sur la nécessité de contrôler ses désirs, ses pensées et le brouhaha du mental pour accéder à plus de clarté d’esprit. Cet état se traduit chez les méditants expérimentés par d’importants changements électromagnétiques dans le cerveau. Ils génèrent des fréquences si inhabituelles que les premiers scientifiques à les avoir mesurées en laboratoire ont cru à un défaut de leurs appareils ! Nos pensées, nos émotions, notre état physique et les atteintes qu’il subit, tout cela concourt à créer notre état énergétique.
En 1973, deux médecins britanniques (Bergsmann et Wolley-Hart) ont montré que la conductance électrique du point acuponcture situé sur le genou et correspondant au foie, était dix-huit fois plus importante chez les patients souffrant de maladies telles que l’hépatite ou la cirrhose, que chez les patients sans maladie du foie. Des pionniers comme le professeur d’anatomie Harold Saxton Burr, suivi par d’autres chercheurs, ont montré que la progression de pathologies comme le cancer s’accompagne de changements dans la conductance électrique des tissus atteints.
Corollaire de ce constat, c’est par des traitements énergétiques qu’on vient à bout de certains problèmes. Si vous vous cassez un bras ou une jambe, vous bénéficierez peut-être de la technologie PEMF, qui consiste à pulser un champ électromagnétique de basse fréquence près de votre blessure pour accélérer la réparation osseuse.
Cette capacité bénéfique de l’électromagnétisme inspire à James Oschman une hypothèse : « Chaque molécule, cellule, tissu et organe a une fréquence de résonance idéale qui coordonne ses activités. En manipulant et en compensant les circuits vibratoires, les thérapeutes seraient capables d’influencer directement le système immunitaire du corps et les mécanismes de réparation. » Le guérisseur (magnétiseur, énergéticien), en émettant des champs spécifiques, agirait à la manière d’un diapason, accordant le patient comme on le ferait avec un instrument dissonant.
Au début des années 90, des mesures effectuées avec un détecteur SQUID à la Colorado School of Medecine sur des personnes en train de pratiquer le toucher thérapeutique ont montré que les mains des praticiens émettent également des champs de basse fréquence, variables au cours de la session, avec des plages de stabilisation aux alentours de 7-8 hertz. Un constat similaire a été fait au Japon à la même époque : l’étude impliquait non seulement des guérisseurs qui pratiquent des techniques énergétiques, mais des maîtres de méditation, de yoga, de qi gong, etc. Les champs mesurés dans leurs mains étaient 1000 fois plus forts que le plus fort des champs magnétiques humains, et un million de fois plus forts que les champs produits par le cerveau.
Extraits article de l'INRESS « les guérisseurs et la science »
SOMMAIRE
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Quelle différence entre l’hypnose classique et ericksonienne ?
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Comment se déroule une séance d'hypnose?
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Que peut-on traiter grâce à l’hypnose ?
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Gestion des traumatismes R.I.T.M.O® E.M.D.R
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Informations sur les séances d'hypnose
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Ecole de l'ARCHE dans la presse
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Tarifs
LE REIKI
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Objectif du Reiki
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Bienfaits
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Historique
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Le Reiki à l'hôpital
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Avantages en milieu hospitalier
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La maladie désiquilibre énergétique ?
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Conseil sur le nombre de séance
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Tarifs
COMPLEMENTARITE DE L'HYPNOSE ET DU REIKI
LES FLEURS DE BACH